La crise financière au Liban à fortement affecté l’économie. les déposants, quant à eux, craignent de plus en plus de perdre leurs dépôts.
L’étude approfondie autour du dernier plan gouvernemental menée par LBCI révèle deux chiffres essentiels :
- La somme totale des dépôts bancaires au Liban est de 93.5 milliards de dollars.
- Les banques n’en ont que 21 milliard.
Ce chiffre sera divisé de la façon suivante :
- 4 milliards de dollars détenu à l’étranger par des banques correspondantes seront réservés aux transactions d’importations et au remboursement des prêts aux institutions internationalles.
- 6 milliard de dollars seront offerts sous forme de prêts par les banques au secteur privé et seront remboursés avec le temps.
- A peu près 1 millirads de dollars d’euro-obligations que doivent les banques à l’Etat.
- 10 milliards de dollars de réserves obligatoire détenues par les banques et déposées à la Banque du Liban.
En effet, 88% des dépots représentent les petits déposants (moin de 100,000 dollars) et les 12% restants représentent les grands déposants.
Le dernier plan du gouvernement propose de rendre 100 000 dollars à chacun des déposants tout en assurant la totalité des dépôts aux petits déposants.
Cenpendant, ce processus s’avère plus dificile aux grands déposants.
Pour ceux qui possèdent des dépôts de plus d’un million de dollars, une preuve des sources des fonds devra être assurer pour la banque.
Les intérêts obtenus grâce aux taux d’intérêts élevée après 2015 seront déduit des dépôts supérieurs à 100 000 dollars.
De plus, une condition primordiale doit être satisfaite : si les fonds ont été transférés en dollars américains au taux de 1 500 après octobre 2015, le dépôt sera ocnsidéré inéligible.
Dans ce cas, le dépôsant sera remboursé en livres libanaises à un taux inférieur à celui du marché.
Le plan du gouvernement en ce qui conserne les plus grands dépôts implique les étapes suivantes :
- La déduction des intérêts réalisés grâce aux taux d’intérêts élévés après 2015.
- La conversion d’une partie des dépôts en action bancaires ayant pour valeur 12 milliards de dollars.
- La conversion d’une autre portion, dont la valeur s’élève à 4 milliards de dollars, en livre libanaise à un taux inférieur à celui du maché.
- Le transfert du montant des dépôts restant au Fonds de guaranti de dépôts de la FMI.
Ce dernier serait financer à travers diverses sources comme :
- Les fonds restants après avoir remboursé les dépôts inférieurs à 100 000 $.
- Les fonds louches récupérés.
- Un poucentage des profits de la banques.
- Des contributions potentielles des actifs de l’Etat.
Toutefois, le montant des fonds que le Fonds de guaranti peut assurer n’a toujours pas été précisé.
Plusieurs discussions suggèrent que la participation de l’Etat ddans le fonds evrait être limité. En effet, tous les citoyens et futur générations devraient profiter des fonds dérivés des actifs de l’Etat, et non seulement les grands déposants.
Malgré la rédaction du plan, le défit essentiel du Liban demeure dans l’execution effective des stratégies proposées.
Après trois ans de crise, les progrès restent limités ce qui place les déposants et le public dans un état d’anxiété en attendant l’adoption d’actions concrètes pour résoudre la situation financière précaire.
Jusqu’à ce que le gouvernement puisse executer ses plans, les fonds des déposants et l’économie libanaise vont continuer à faire face à d’importants obstacles.